Une ruelle sombre de Cassiopéa. Des ordures jonchant les pavés durs, froids et inégaux de cette ruelle ou les chiens galeux venaient chasser les chats, qui chassaient les rats, énormes, qui eux, mangeaient toutes les cochonneries jetée et rejetées par les êtres humains, mi-humains. Mais il semblerait que les furry évitent cette zone. Une boutique au panneau de bois, sculpté en forme de peau animal leurs ferait peut-être peur?
Clac - clak - clac - tipiclak.
Leurs fourrure serait-elle mise à prix? Il fut donné une fois à cet être de séjourner dans la poche d'un furry élan. Très aimable mais à l'odeur empreignant les narines pour de longues nuits. L'été serait surement le pire de ses cauchemars. Enfin, le cauchemar de ses voisins. Cette peau, juste là.
Clak - clik.
Il avais la même couleur de poil. Mais il avais plus de fourrure que ce simple manteau humain. Quoi que. Il n'étais pas on ami et il ne me fut pas donné la joie d'éprouver des sentiments.
L'instinct.
C'est lui qui fait tout le boulot, il me guide, m'ensorcèle. Sauf quand il s'agit d'ouvrir les portes. Les portes arrière de restaurants dont la devanture donnais l'eau à la bouche des voyageurs dont l'estomac, éspèront-le, était bien solide.
Clik - clic - clak - tipiclic.
Mes griffes faisaient beaucoup de bruits, pour un oreille fine, sur les pavés. Ma longues queue suivais mes mouvements et me permettais de garder l'équilibre. A mon cou, quelques tâches oranges trônaient, je l'ai aperçus dans une flaque d'eau.
Ces tâches sont... oui... des pellicules. Oui, les rats ont des pellicules et alors?
Tipiclak.
Cible ciblée. Je monte à la fenêtre d'un restaurant et observe. Des restes trônaient un peu partout. A moi de jouer.